Comment ça, vous ne connaissez pas Cindy et Sandy ?

J’ai le plaisir de vous présenter mon nouveau roman. Quelque part au Soleil, ce sont quelques mois dans la vie de Cindy et Sandy, les reines du n’importe quoi, qui sont devenues les meilleures copines du monde en quelques instants. Au fil de leurs aventures un peu loufoques et burlesques, on fait la connaissance de Siméon le musicien, de Jo la Paluche, le vieux gangster lyonnais, ou de Mehmet, le roi du kébab. Mais pas que : dans Quelque part au Soleil, il y a des chevaux de course, un kidnapping, des casses en tous genres, des éclats de rire et des rêves à n’en plus finir.

Quelque part au soleil

Eh oui, je suis concepteur-rédacteur ET écrivain. Et pas seulement à mes heures perdues ! Avec ce roman, mon dixième livre, édité chez L’Harmattan, me voilà comblé. En effet, lorsque j’ai commencé à écrire, alors que je n’avais pas encore atteint la trentaine, je me suis fixé cet objectif : 10 livres (de littérature, j’entends) publiés dans ma vie. Cela n’avait pas tellement de sens, j’en conviens, mais bon… En tout cas, voilà. L’objectif est atteint, tout le reste sera donc tout bonus.

J’ai écrit pour des publics différents, j’ai exploré des genres différents, de la nouvelle intimiste à la dystopie. Cette fois-ci, j’ai beaucoup pensé au plaisir de mes lecteurs (dont vous serez ?). Je me suis également beaucoup amusé en inventant ces péripéties et ces rebondissements. Un roman qui (je crois) n’est pas dénué de profondeur, et que j’ai voulu écrit avec légèreté. Alors, on file Quelque part au Soleil ?

Et n’oubliez-pas…

Sur les murs

Je crois que nous tomberons d’accord sur le fait qu’il existe plusieurs formes de graffiti (« graffitis » est également toléré, mais comme il s’agit du pluriel de « graffito » et que je m’appelle Napoletano, je m’en tiendrai à l’orthographe italienne). En voici trois : les moches, qui polluent ; les créatifs, qui embellissent ; et les porteurs de messages, qui nous parlent.

Celui que j’ai envie de vous présenter fait plutôt partie de la troisième catégorie, même si l’on pourrait aussi être tenté de le classer dans les deux premières. Le voici…

Bien entendu, on peut être sensible à son humour (ce fut mon cas) ; mais je trouve qu’en plus d’une certaine forme de poésie, il est porteur de messages multiples et incite à la réflexion. Je vous laisse libre de vous faire votre opinion…

Ce qui est drôle, c’est que quelques semaines plus tard, une réponse est apparue – non dénuée d’humour et de sens, elle non plus.

Et n’hésitez-pas à vous rendre sur mon portfolio, il y a des nouveautés.