Sur les murs

Je crois que nous tomberons d’accord sur le fait qu’il existe plusieurs formes de graffiti (« graffitis » est également toléré, mais comme il s’agit du pluriel de « graffito » et que je m’appelle Napoletano, je m’en tiendrai à l’orthographe italienne). En voici trois : les moches, qui polluent ; les créatifs, qui embellissent ; et les porteurs de messages, qui nous parlent.

Celui que j’ai envie de vous présenter fait plutôt partie de la troisième catégorie, même si l’on pourrait aussi être tenté de le classer dans les deux premières. Le voici…

Bien entendu, on peut être sensible à son humour (ce fut mon cas) ; mais je trouve qu’en plus d’une certaine forme de poésie, il est porteur de messages multiples et incite à la réflexion. Je vous laisse libre de vous faire votre opinion…

Ce qui est drôle, c’est que quelques semaines plus tard, une réponse est apparue – non dénuée d’humour et de sens, elle non plus.

Et n’hésitez-pas à vous rendre sur mon portfolio, il y a des nouveautés.