Une année… géniale ?!

Dans la série des bassistes de génie, justement, je vous avais déjà présenté Marcus Miller, le slapper fou, et Jaco Pastorius, l’homme aux doigts d’or. Aujourd’hui, j’ai envie de vous offrir du Charles Mingus. Plus qu’un grand contrebassiste, Charles Mingus fut à mon sens un compositeur, un arrangeur et un chef d’orchestre sans égal, qui sut par ailleurs s’entourer de musiciens d’exception. Cet homme au destin chaotique a construit tout au long de sa carrière une œuvre unique faite d’ambiances comme des réminiscences, d’atmosphères chaudes et envoûtantes et d’émotions paroxystiques.

Un univers.

Normal, pour un dieu de la musique…

Allez, un dernier clic pour le grand voyage !

De la théorie à la pratique – ou le chat et la tartine

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Nous le savons, entre théorie et pratique, il existe parfois un fossé que seules l’expérience ou de cruelles déconvenues peuvent combler. Aujourd’hui, je vous parlerai de théorie, de pratique et d’absurde. Et si vous le souhaitez, vous pourrez voir de très brèves vidéos qui mettent justement l’absurde en scène, chacune à sa façon.

Avez-vous déjà entendu parler du chat de Schrödinger ?

Erwin Rudolf Josef Alexander Schrödinger (1887 – 1961) était un physicien et philosophe autrichien. Adoptant une position critique face à la mécanique quantique et son « interprétation de Copenhague », il a conçu une expérience dont l’objet était un chat. Je précise rapidement que selon le « principe de superposition », un même état quantique peut posséder plusieurs valeurs (en gros, un atome peut être en même temps intact et désintégré). Par ailleurs, et pour faire bref, l’interprétation de Copenhague stipule que l’instrument de mesure et la mesure elle-même sont des éléments déterminants. Schrödinger a donc imaginé un chat enfermé dans une boîte munie d’un système complexe dont le résultat consiste à désintégrer une fiole de poison au bout de quelques instants. Figurez-vous qu’en mécanique quantique, tant que la boîte n’a pas été ouverte, le chat est conjointement mort et vivant.

Une autre expérience théorique utilisant un chat a généré quant à elle de nombreuses interprétations. Nous avons tous subi l’amère application d’une loi immuable qui pourrait être énoncée de la manière suivante : « Toute tartine tombe systématiquement du côté beurré ». Nous savons tous par ailleurs qu’un chat retombe toujours sur ses pattes. Alors, si nous fixons une tartine beurrée sur le dos d’un chat (beurre vers le haut, ça va sans dire) avant de jeter le tout par la fenêtre, que doit-il se produire ? Eh bien, en théorie, le chat reste en lévitation.

Voici maintenant deux très brèves vidéos. L’une – publicité pour une boisson énergisante – décline légèrement la théorie et en produit une ingénieuse application ; l’autre la réfute et nous prouve de manière incontestable que la théorie ne se vérifie pas toujours lorsqu’on la met en pratique.

 

 

Le courage des Français

« Ne mettez jamais en doute le courage des Français, ce sont eux qui ont découvert que les escargots étaient comestibles. »

Je me permets de reprendre une citation  – d’un certain Doug Larson  – que l’on voit ici et là, en même temps tellement drôle et tellement en phase avec l’actualité…

Voyous et gentlemen

Quelques jours après le feu d’artifice de cette finale de Coupe du Monde de rugby gagnée par les All Blacks, je ne résiste pas au plaisir de cette citation bien connue :

« Le rugby est un sport de voyous pratiqué par des gentlemen, le football est un sport de gentlemen pratiqué par des voyous. »

Et un petit haka historique pour la route…